Chiffres romains en anglais
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Les chiffres romains constituent un système numérique fascinant et ancien qui est utilisé depuis des siècles. Ils représentent une manière unique de coder des nombres à l’aide de lettres et ont été employés dans toutes sortes de textes, des horloges aux génériques de films.
Apprendre les chiffres romains est une compétence essentielle pour les apprenants de langues, car cela peut les aider à comprendre des documents historiques, de la littérature et même des applications modernes. C’est également un excellent moyen d’améliorer leurs connaissances générales en arithmétique et d’élargir leur vocabulaire.
Dans cet article, nous explorerons les concepts de base des chiffres romains afin que tu puisses comprendre quel nombre correspond à X, L, MX et que tu sois capable de créer différents nombres individuellement.
Vocabulaire de base des chiffres romains
Voici le lexique fondamental des chiffres romains ! Voici l’explication des symboles I, V, X, L, C, D et M. Ces symboles sont les éléments de base du système numérique romain, et avec eux, on peut exprimer n’importe quel nombre avec facilité. Pour commencer, examinons chaque symbole séparément.
- I - One
- V - Five
- X - Ten
- L - Fifty
- C - One hundred
- D - Five Hundred
- M - Thousand
Pour écrire le nombre deux, il suffirait de combiner deux I, ce qui donne II. Le nombre trois serait III, et ainsi de suite. Pour écrire le nombre quatre, il est nécessaire de soustraire un à cinq, ce qui donne IV. De même, pour écrire le nombre neuf, il faudrait soustraire un de dix, ce qui donne IX.
Le nombre XX représente 20 grâce à la combinaison du nombre X deux fois. Pour écrire le nombre quarante, on soustraira dix de cinquante, ce qui donne XL. Pour écrire le nombre quatre-vingt-dix, on soustraira dix de cent, ce qui donne XC.
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Chiffres romains avancés
Dans ce chapitre, nous approfondirons les méthodes de création des chiffres romains avancés, y compris la notation soustractive, la somme directe, la notation par répétition et la notation non répétitive.
- Notation soustractive. Cette méthode consiste à placer un nombre inférieur devant un nombre supérieur pour indiquer une soustraction. Par exemple, IV représente quatre, car I (un) est soustrait de V (cinq).
- Notation de somme. Elle consiste simplement à additionner des nombres. Par exemple, VII en chiffres romains équivaut à 7, en additionnant V, I et I.
- Notation par répétition. C’est une manière astucieuse d’économiser de l’espace et de l’encre. Elle consiste à placer une ligne horizontale au-dessus d’un nombre pour indiquer une multiplication par mille. Ainsi, une ligne sur X (dix) indique dix mille, ou X̄.
- Notation non répétitive. Elle est utilisée lorsqu’un nombre apparaît plus de trois fois de suite. Dans ce cas, le nombre est écrit une fois, suivi d’une ligne horizontale, pour indiquer la multiplication par mille. Par exemple, 4000 s’écrit IV̄.
Mettons maintenant nos connaissances à l’épreuve avec quelques exemples. Le nombre 49 peut s’écrire XLIX, en utilisant la notation soustractive pour 40 (XL) et pour 9 (IX). Et ainsi de suite, chaque nombre s’exprime par la combinaison astucieuse de ces symboles. Pour vous aider dans cette tâche, nous vous proposons quelques nombres sous forme de liste, accompagnés de leur équivalent en anglais :
Nombre romain | Nombre en anglais |
I | 1 |
II | 2 |
III | 3 |
IV | 4 |
V | 5 |
VI | 6 |
VII | 7 |
VIII | 8 |
IX | 9 |
X | 10 |
XI | 11 |
XII | 12 |
XIII | 13 |
XIV | 14 |
XV | 15 |
XVI | 16 |
XVII | 17 |
XVIII | 18 |
XIX | 19 |
XX | 20 |
XXI | 21 |
XXII | 22 |
XXIII | 23 |
XXIV | 24 |
XXV | 25 |
XXVI | 26 |
XXVII | 27 |
XXVIII | 28 |
XXIX | 29 |
XXX | 30 |
XXXI | 31 |
XXXII | 32 |
XXXIII | 33 |
XXXIV | 34 |
XXXV | 35 |
XXXVI | 36 |
XXXVII | 37 |
XXXVIII | 38 |
XXXIX | 39 |
XL | 40 |
XLI | 41 |
XLII | 42 |
XLIII | 43 |
XLIV | 44 |
XLV | 45 |
XLVI | 46 |
XLVII | 47 |
XLVIII | 48 |
XLIX | 49 |
L | 50 |
LI | 51 |
LII | 52 |
LIII | 53 |
LIV | 54 |
LV | 55 |
LVI | 56 |
LVII | 57 |
LVIII | 58 |
LIX | 59 |
LX | 60 |
LXI | 61 |
LXII | 62 |
LXIII | 63 |
LXIV | 64 |
LXV | 65 |
LXVI | 66 |
LXVII | 67 |
LXVIII | 68 |
LXIX | 69 |
LXX | 70 |
LXXI | 71 |
LXXII | 72 |
LXXIII | 73 |
LXXIV | 74 |
LXXV | 75 |
LXXVI | 76 |
LXXVII | 77 |
LXXVIII | 78 |
LXXIX | 79 |
LXXX | 80 |
LXXXI | 81 |
LXXXII | 82 |
LXXXIII | 83 |
LXXXIV | 84 |
LXXXV | 85 |
LXXXVI | 86 |
LXXXVII | 87 |
LXXXVIII | 88 |
LXXXIX | 89 |
XC | 90 |
XCI | 91 |
XCII | 92 |
XCIII | 93 |
XCIV | 94 |
XCV | 95 |
XCVI | 96 |
XCVII | 97 |
XCVIII | 98 |
XCIX | 99 |
C | 100 |
Ce tableau vous aide à comprendre quel nombre est X et comment l’utiliser correctement, en créant des chiffres romains plus avancés.
Usage courant des chiffres romains
Les chiffres romains sont polyvalents et intemporels. Ces anciens symboles ont été introduits dans divers aspects de notre vie, des pages des livres aux annales de l’histoire. Voici quelques-uns des usages les plus courants de ces chiffres :
- Numérotation des pages. Les chiffres romains sont souvent utilisés pour numéroter les pages des livres, notamment sur la couverture. Cela inclut la table des matières, la préface et l’introduction. Par exemple, un livre peut avoir les pages numérotées en chiffres romains de I à XII dans l’introduction, puis en chiffres arabes dans le reste du livre.
- Chapitres et volumes de livres. Les chiffres romains sont également utilisés pour indiquer les chapitres et les volumes des livres. Cela est particulièrement fréquent dans les ouvrages anciens, où chaque chapitre ou volume reçoit un chiffre romain. Par exemple, un livre en trois volumes peut les numéroter comme I, II et III, tandis que chaque volume peut également comporter des chapitres numérotés en chiffres romains.
- Indication des dates et des années. Les chiffres romains sont souvent utilisés pour indiquer des dates et des années, notamment dans des contextes formels. Par exemple, l’année 2021 peut s’écrire MMXXI en chiffres romains. De même, des dates comme le 4 juillet 1776 peuvent s’écrire comme VII IV MDCCLXXVI.
- Noms de monarques et de papes. Les chiffres romains sont habituellement utilisés pour distinguer les monarques et les papes portant le même nom. Par exemple, le roi Henri VIII d’Angleterre est ainsi appelé parce qu’il fut le huitième roi nommé Henri. De même, le pape Jean‑Paul II fut le deuxième pape nommé Jean‑Paul, d’où son appellation fréquente de Jean‑Paul II.
En conclusion, les chiffres romains possèdent une large gamme d’usages qui ont résisté à l’épreuve du temps. De la numérotation des pages à la nomination des monarques, leur polyvalence et leur élégance en font un choix intemporel pour toute occasion.
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